Les grands tabous de la génétique: race, intelligence et violence.

Très intéressant article de Nature, 2013, pointant les “3 sujets les plus tabous actuellement en génétique: la race, l’intelligence et la violence”

Article de Nature, 2013, Taboo.

“As far as genetic taboos go, race is probably one of the most heavily policed from within the scientific community, largely because of the way researchers have examined its intersection with other controversial traits, such as intelligence”

“some researchers have asked whether the taboo on the genetics of race has become so severe that it bars legitimate research. In 2005, for instance, geneticist Bruce Lahn of the University of Chicago in Illinois published studies3,4 suggesting that variants of two brain-development genes possibly linked to intelligence are evolving differently in white Europeans and African ethnic groups”

“The global bell curve” disponible en pdf !

Dans “The global bell curve. Race I.Q and inequality worlwide”, 2008 (cliquez pour consulter l’ouvrage en pdf), Richard Lynn démontre que quel que soit le pays à travers le monde, la hiérarchie reste rigoureusement identique, avec un ordre dicté par le Q.I moyen racial:

  • 1. Juifs Ashkénazes (110)
  • 2. Asiatiques de l’est (105)
  • 3. Européens (100)
  • 5. Inuits (91)
  • 6. Asiatiques du sud-est (90)
  • 7. Métis caucasiens-africain (81-90)
  • 8. Amérindiens (86)
  • 9. Nord africains et sud asiatiques (84-88)
  • 10. Africains (67-80)
  • 11. Aborigènes d’Australie (62)

Les différences sont bien sur plus marquées entre les races dont le Q.I diffère sensiblement et est plus ténue entre les races d’intelligence proche.

Cette hiérarchie se vérifie immanquablement pour :

  • 1. L’éducation.
  • 2. Les salaires moyens.
  • 3. Le taux de crime et délit (le taux augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 4. Le statut socio-économique.
  • 5. La fécondité (le taux de fécondité augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 6. L’arriération mentale (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 7. La réussite scolaire.
  • 8. La délinquance juvénile (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 9. Le pourcentage de mères célibataires (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 10. Le taux de chômage (augmente par ordre croissant tandis que le Q.I diminue)
  • 11. La réussite au SAT (test d’entré de la plupart des universités américaines)
  • 12. La prévalence de personnes douées.

Les gènes de la “torsion dystonia” augmentent considérablement le Q.I.

Les gènes prédisposant à la “torsion dystonia”, une variante rare de dystonie retrouvée plus fréquemment chez les juifs ashkénazes (l’ethnie ayant le plus haut Q.I moyen, 110, pertinemment parce que la fréquence des allèles pour une haute intelligence y est plus élevée) augmentent considérablement le Q.I.

La recherche fait état d’un gain de plus de 10 points de Q.I pour les porteurs hétérozygotes (la maladie est dominante, les personnes sont atteintes avec un seul allèle muté). Le Q.I moyen des patients est de 121, contre 111 pour les contrôles.

http://www.examiner.com/article/rare-genetic-condition-linked-with-high-iq

“Unlike most genetic diseases, torsion dystoni is dominant. You only need one copy of the mutant gene to have problems. That also means that any benefit must be large. When a recessive mutation is rare, there are many more carriers than homozygotes, and even a small advantage among heterozygotes can balance serious bad effects in the rare homozygotes. A dominant has to give a hefty advantage, even more so if it has any costs, which the torsion dystonia gene surely does. So if torsion dystonia is […] [a] hereditary neurological disease […] [that] pays off in IQ, it must make a big difference, and that difference will probably show up in patients. ( Note that in diseases like Tay-Sachs, nobody even studies carriers. Doctors are not geneticists.) Apparently it does. I found several reports of materially increased IQ among Ashkenazi torsion dystonia patients. . The difference is apparently so striking that it is mentioned in the very first scientific article on the disease, by Flatau back in 1911. Many other physicians made the same observation. And if you think that plenty that being crippled makes you smarter, think again: nobody every said that about polio victims. Roswell Eldridge, in a small group of patients, found that the average IQ was 122, 10 points higher than their controls matched for age, sex, ethnic background, and school (Cochran)”

Détection des gènes de l’intelligence: les chinois investissent massivement.

Les chinois viennent d’investir massivement dans le plus grand projet jamais conçu de détection des gènes responsables de la très haute intelligence. Pour y participer un seul critère… avoir un Q.I au dessus de 160.

Documentaire d’Arte très instructif.

“Il est bien connu que les variations d’intelligence sont principalement provoquées par des variations génétiques… ce sujet est tabou en occident. En Chine, pas du tout”.

 

 

“A troublesome inheritance. Genes, race and human history”

Be very cautious… the egalitarian fanatics will not be happy ?

“A Troublesome Inheritance“, by science journalist Nicholas Wade, 2014, was published in June by Penguin Press in New York. The 278-page work garnered suggests that genetic differences (rather than culture) explain, for instance, why Western governments are more stable than those in African countries. Wade is former staff reporter and editor at the New York Times, Science and Nature.

http://www.amazon.com/Troublesome-Inheritance-Genes-Human-History/dp/1594204462

Pour rappel: le courage de James Watson.

James Watson, prix Nobel pour la découverte de la structure en double hélice de l’ADN -un des scientifiques les plus importants du siècle- affirmait en 2007 être “fondamentalement pessimiste pour l’avenir de l’Afrique, car nos politiques d’aide se basent sur l’hypothèse suivant laquelle leur intelligence serait la même que celle des européens, alors qu’il est clairement démontré que ce n’est pas le cas”.

Dans un livre paru l’année suivante (Evitez les gens ennuyeux, James Watson, 2008) il ajoute “Il serait totalement surprenant voire impossible que des populations ayant évolué dans des milieux séparés durant des milliers d’années se retrouvent aujourd’hui avec des génotypes intellectuels semblables. Notre volonté idéologique de distribuer un pouvoir intellectuel identique à tous n’est pas suffisante pour qu’il en soit ainsi”.

Pour ceux qui connaissent la littérature scientifique sur la question, la première de ces affirmations est évidemment scientifiquement éclairée et indéniable. La seconde relève du bon sens scientifique. Ceux qui affirment le contraire sont soit ignorants des principes élémentaires de la biologie de l’évolution,  on un agenda politique pour nier de cette façon l’importance de la race. Ou les deux.

“Halo va stimuler votre cerveau grâce à des impulsions électriques”

Mémoire, apprentissage d’une langue, capacités mathématiques, troubles psychologiques… Halo Neuroscience prépare un objet connecté destiné à stimuler le cerveau.

http://www.journaldunet.com/web-tech/start-up/daniel-chao-daniel-chao-halo-neuroscience.shtml

Le site de halo neuroscience

http://haloneuro.com/

Q.I, différences intellectuelles entre les races et impact de l’immigration, ou la fin programmée de l’Occident.

Crépuscule européen.

Traduction de l’article original Race Differences, Immigration, And The Twilight of the European Peoples, Richard Lynn, professeur de psychologie à l’université d’Ulster.

Il s’agit d’examiner l’évolution de l’Europe résultant de l’immigration de non-Européens, en particulier à la lumière des différences de QI entre les immigrants et les natifs de la population blanche. Cette approche se veut différente des débats actuels sur l’immigration qui se penchent principalement sur des aspects quantitatifs, afin de savoir si nous avons besoin de plus ou de moins d’immigrants, et jamais sur la qualité des immigrants ou de leur identité raciale.

Différence raciales  de Q.I. 

Dans son analyse sur les différences intellectuelles entre les races, qui est le résultat et le résumé de 80 ans d’études sur la question, Richard Lynn crédite les anglais d’un QI de 100 et a démontré que les autres Européens ont le même QI moyen, sauf dans les Balkans, où il tombe à environ 93. Hors d’Europe, l’Asie de l’Est (Chinois, Japonais et Coréens) a un QI moyen plus élevé de 105. Les Sud-Asiatiques et les Africains du Nord ont un QI moyen de 84, dans les Caraïbes le QI est de 71, et les Noirs d’Afrique sub-saharienne ont un QI de 67.

Ces QI raciaux semblent être à cinquante pour cent génétique et à cinquante pour cent déterminés par l’environnement. Cela signifie que lorsque ces peuples migrent vers la Grande-Bretagne ils subissent une grande amélioration de l’environnement, notamment en ce qui concerne la nutrition, les soins de santé et l’éducation, de sorte que leur QI augmente d’environ cinquante pour cent. Ainsi, le QI des asiatique du Sud et des Nord-Africains augmente jusqu’à 92, alors que le QI des Noirs d’Afrique des Caraïbes passe à environ 86.

Le faible quotient intellectuel des Noirs a été observé à partir de l’observation de tous les jours bien avant qu’il ne soit établi par des tests d’intelligence. Par exemple, au XVIIIe siècle David Hume écrit “Je suis apte à penser que les Noirs sont naturellement inférieurs aux Blancs. Il n’y a pas de fabrication ingénieuses chez eux, aucune forme d’art, pas de sciences”. Les premiers explorateurs de l’Afrique sont arrivés à la même conclusion. Mungo Park, qui a visité l’Afrique de l’Ouest en 1795 et a fait son chemin jusqu’à la Gambie et le Niger, a noté que les peuples africains n’avaient pas de langue écrite et très peu de structures pouvant être décrites comme une civilisation. Il a décrit les Africains, vivant dans de «petites taudis incommodes: un mur de boue circulaire d’environ quatre pieds de haut, sur laquelle est placé un toit conique, composé de la canne de bambou et recouvert d’herbe, de sorte que le palais du roi est à la mesure de l’esclave “.

L’explication de ces différences raciales dans l’intelligence, aujourd’hui largement acceptée, est que l’homme a évolué à partir de l’Afrique de l’Est équatorial. Il y a environ 100.000 ans, certains groupes ont émigré vers le nord, en Afrique du Nord, puis en Asie et en Europe. Ces groupes ont rencontré un environnement difficile dans lequel il n’y avait pas de plantes ou d’insectes pour se nourrir toute l’année, de sorte qu’ils ont du chasser de grands animaux comme les mammouths pour obtenir leur nourriture. Ils ont également eu à se chauffer et donc ils ont du apprendre à faire des vêtements et des abris. Ces problèmes sont devenus beaucoup plus grand durant la première époque glaciaire qui a commencé il y a environ 28.000 années et a duré jusqu’il y a environ 11.000 ans. Tous ces défis ont demandé une intelligence plus élevée. Seuls les plus intelligents ont été capables de survivre dans ces environnements difficiles alors que les moins intelligents ont péri. Un résultat visible est que la taille du cerveau en Europe et en Asie de l’Est a augmenté pour tenir compte de la plus grande intelligence nécessaire pour surmonter ces problèmes.

Ces différences raciales dans l’intelligence sont l’une des plus importantes raisons des différences dans la richesse et la pauvreté des nations qui sont présentes à travers le monde (l’autre raison principale étant la présence d’une économie de marché ou à contrario d’une certaine forme de socialisme ou le communisme, préjudiciable au développement). L’intelligence est un déterminant majeure de la compétence et de la capacité de gain, de façon inévitable l’Europe et les peuples d’Extrême-Orient dont les populations sont intelligentes atteignent des normes plus élevées de vie que les autres peuples, qui sont moins intelligents.

Ceci est souvent appelé le fossé Nord-Sud, composée de la richesse du nord de l’Europe, de l’Amérique du Nord et du Japon, et les pauvres du sud, l’Asie du Sud, l’Afrique et l’Amérique latine, mais ce n’est qu’un euphémisme par rapport aux richesses de l’Europe et de l’Extrême-Orient, peuples qui vivent principalement dans l’hémisphère nord et les pays pauvres d’Asie du sud, d’Afrique et de l’Amérique latine qui vivent dans le sud. Ces écarts de richesse sont en grande partie causée par les différences raciales dans l’intelligence.

De ce fait, l’idée que la pauvreté puisse être éliminée par l’annulation de dettes et la fourniture de d’avantage d’aide est vouée à l’échec.

Lorsque les peuples non-européens migrent vers l’Europe et l’Amérique du Nord, leurs faibles QI a pour conséquence qu’il est difficile pour eux de faire face dans les sociétés économiquement évoluées. L’effet des différences raciales de QI sur la capacité à faire face a été démontré pour les États-Unis par Richard Herrnstein et Charles Murray dans son livre The Bell Curve. Ils ont montré que les Noirs avec un QI moyen de 85 obtenaient de piètres résultats en matière d’éducation et de revenus, alors qu’ils ont des taux élevés de criminalité, de dépendance sociale et de chômage. Les Hispaniques sont un peu plus élevés avec un quotient intellectuel moyen généralement à environ 89 et ils font un peu mieux, alors que les Blancs et les Asiatiques (model minority) font le mieux.

 De semblables différences raciales ont été trouvés en Grande-Bretagne, les Est asiatique, particulièrement les Chinois sont les plus performants en matière d’éducation et d’instruction et ont le plus faible pourcentage  d’exclusions d’école et de la criminalité. Les natifs britannique viennent ensuite, suivis par les Sud-Asiatiques du sous-continent indien, tandis que les noirs effectuent les pires résultats. Nous le voyons pour le niveau de scolarité dans le tableau 1 (les scores sont publiés par le ministère de l’Education et des Compétences).Il est à noter que les Indiens font mieux que les Pakistanais ou les Bangladais. Les principales raisons sont que les Indiens sont des immigrés de longue date en Grande-Bretagne alors que les Pakistanais et les Bangladais sont de plus récents immigrés, qui plus est les Indiens sont un groupe plus sélectionné.Les deux groupes de Noirs des Caraïbes et d’Afrique font les pires résultats.
Table 1. A level scores1996-2000
Group A level score
Chinese 16.8
Whites 13.8
Indians 11.3
Pakistani/ Bangladeshi  6.4
Africans  2.8
Caribbeans  1.7
Richard Herrnstein et Charles Murray dans la démonstration de The Bell Curve ont montré que les États-Unis
montrent une relation inverse entre le Q.I et les taux de criminalité. Ceci est aussi vrai en Grande-Bretagne.
Le tableau 2 montre les chiffres du Home Office du Royaume-Uni pour le taux de criminalité des Blancs,
des Chinois, des Asiatiques du Sud et des Noirs. Ces statistiques sont pour les hommes en prison
par rapport à leur nombre dans la population et sont exprimés en odds ratios blanc dans lequel le taux est
fixé à 1,0 et le taux des autres groupes est exprimé en multiples de cette situation. Ainsi, le taux de 0,7
des chinois correspond à la valeur par rapport au 1 du taux des blancs, tandis que pour les Asiatiques du Sud
le taux est de 1,3 fois le taux de blanc, les noirs ont un taux de 8,1 fois le taux de blanc.Ces différences raciales dans le crime sont bien connus par les autorités. Par exemple, le Professeur
Sir Michael Rutter écrit que “il y a des différences dans les taux de criminalité entre les groupes ethniques”,
mais il ajoute que “ces différences sont amplifiées par les petits (mais cumulatifs) biais dans la
manière dont les traitement judiciaire ont lieu … ».Cela impliquerait que les préjugés raciaux dans le système policier et judiciaire soient en partie responsables,
alors que Sir Michael n’offre aucune explication de la raison pour laquelle les Asiatiques du Sud ont un taux
de criminalité à peine plus élevé que les blancs, ou beaucoup plus faible pour le taux de criminalité des
chinois.
Table 2. Crime rates (Men)
Group Crime: Odds ratios  
Whites 1.0  
Chinese 0.7  
South Asians 1.3  
Blacks 8.1  

[Home Office. Statistiques sur la race et le système de justice pénale. London: Home, 1998 PDF]

Les Noirs ont aussi un taux de criminalité beaucoup plus élevés que les Blancs aux États-Unis, et aussi
dans les Caraïbes et en Afrique ou en amérique du Sud. Le haut taux de criminalité semble être
une caractéristique universelle des Noirs.

Il semble y avoir trois raisons pour lesquelles les QI faibles sont liées à des taux de criminalité plus élevés.

* D’abord, ceux qui ont un faible QI sont moins en mesure de comprendre les effets et les coûts et
conséquences d’être capturés et punis.

* Ensuite, les garçons ayant un faible QI font de piètres résultats à l’école et vivent généralement avec
d’autres personnes semblables. En conséquence, le sous-ensemble devient aliéné de l’école et de la société
et voit peu à peu ses chances disparaitre de gagner sa vie par un emploi rémunéré.
Le crime semble offrir une alternative attrayante. L’aliénation de l’école mène à un comportement
perturbateur qui finalement conduit à l’expulsion ou d’exclusion.

Les différences raciales à l’école dans les taux d’exclusions publiée par le ministère de l’éducation,
la hiérarchie reste bien dictée par le Q.I, de même que le niveau de scolarité et de la criminalité. Les chiffres
des dernières années sont indiqués dans le tableau 3. Nous voyons ici que les Chinois sont à un
cinquième du taux des Blancs. Le taux d’exclusion pour les asiatiques du sud est à peu près la même,
tandis que le taux pour les noirs est de 4,4 fois supérieur.
Table 3. School exclusions
School exclusions Odds ratios
Whites 1.0
Chinese 0.2
South Asians 0.9
Blacks 4.4
* Une troisième raison pour expliquer les taux élevés de criminalité et d’exclusion scolaire élevé des Noirs,
il semble que, en plus de leur faible QI, les Noirs ont un horizon à plus court terme, de manière à ce qu’ils
ne réfléchissent pas à l’évolution probable des conséquences de leurs actes.Cette caractéristique a souvent été noté. Par exemple, John Speke, qui a exploré l’Afrique de l’Est dans les
années 1860 et découvert la source du Nil, a décrit les africaine comme «une créature d’impulsion –
un adulte enfant”.A la même époque, Anthony Trollope, le romancier britannique, a visité la région des Caraïbes et a écrit ses
impressions dans son livre The West Indies. Ici, il décrit les caractéristiques des Noirs, Blancs, Chinois,
Indiens et Métis, et des Noirs il écrit qu ‘ «ils n’ont pas de soins pour demain, mais ils cherchent le bonheur
du jour. Leurs crimes sont ceux de l’impulsion momentanée”.Immigration dans le monde blanc.Le nombre de non-européens en Grande-Bretagne est en augmentation constante depuis le British
Nationality Act de 1948 qui confère le droit a la citoyenneté et a résidence à tous les membres du
Commonwealth britannique et de l’Empire.Cette tendance se retrouve dans le tableau 4, tiré du recensement de 1951, 1961, 1971 et 2001, et projeté
vers l’avant dans le temps pour 2031 et 2061.
Au cours de la même période, le nombre des blancs peut être projeté à décliner parce que les Blancs ont
environ 1,6 enfants par couple. L’effet est que le nombre de blancs diminuera d’environ 55 millions en 2001
à environ 34 millions en 2061. Ainsi, en 2061, environ deux tiers de la population de la Grande-Bretagne
sera d’origine extra-européenne, alors que près d’un tiers sera blanche.
Table 4. The numbers of non-Europeans in Britain
Year Non-Europeans
1951   138,000 
1961   360,000 
1971   751,000 
2001  3,450,000
2031 15,550,000
2061 69,862,000
Ces projections sont des projections – ou peut-être raisonnable et on ne peut prédire toutes les conjectures
sur ce que l’avenir va apporter – et peut-être certains diront que ce ne peut pas se produire.Mais pourquoi pas? Il y a peu de raison de supposer que les principaux facteurs responsables de la
croissance du nombre de non-européens en Grande-Bretagne soient susceptible de changer.Examinons cela.* D’abord, ils entrent dans la Grande-Bretagne en tant que demandeurs d’asile, ce qui est susceptible de
continuer.Le nombre de demandeurs d’asile en provenance d’Afrique en 1981 était de 108.000. En 2001, il a été de
480.000, soit une augmentation de plus de quatre sur une période de 20 ans seulement. À mesure que
l’idée se propage à travers l’Afrique que l’entrée en Grande-Bretagne est facile et bien meilleur que la vie en
Afrique, les chiffres sont susceptibles d’augmenter. La plupart des demandeurs d’asile se voient refuser
l’asile, mais très peu sont effectivement expulsés. C’est parce que des problèmes de les trouver et quand ils
se trouvent, ils refusent souvent de divulguer d’où ils viennent, il n’est donc pas possible de les expulser.* Deuxièmement, de nombreux non-Européens entrent la Grande-Bretagne comme des immigrants
illégaux dans le dos des camions, sur l’Eurostar [Le train du tunnel sous la Manche] ou comme passagers
clandestins cachés à bord des navires.Une fois qu’ils sont en Grande-Bretagne, ils ont peu de difficulté à trouver un logement, souvent fournis par
les autorités locales, et soit ils trouvent du travail soit ils obtiennent des paiements de sécurité sociale du
chômage. Cela est également très difficile de l’arrêter.* Troisièmement, de nombreux entrent la Grande-Bretagne légalement comme des visiteurs et des
étudiants, et restent indéfiniment.* Quatrièmement, beaucoup entrent par le biais de la loi des mariages arrangés.Cela est particulièrement fréquent chez les Pakistanais et les Bangladais, dont plus de la moitié des
mariages ont des conjoints de leur pays d’origine. D’autres clandestins simplement paye quelqu’un pour
passer par une cérémonie de mariage avec un ressortissant britannique, à travers laquelle ils acquièrent la
citoyenneté.* Cinquièmement, les non-Européens (à l’exception de la Chine) ont plus d’enfants que les Blancs.Le nombre d’enfants suivant les différences de groupe d’immigrants dans le recensement de 2001 sont
indiqués dans le tableau 5. On voit que les blancs ont un taux de fécondité de 1,6 enfants par femme, alors
que les Noirs et les Indiens ont environ 30 pour cent plus d’enfants que les Blancs,  2.2 et 2.3. Les
Pakistanais, les Bangladais et les Somaliens en ont 5.0, plus de trois fois le nombre d’enfants des Blancs.

L’ensemble de ces cinq causes causant la croissance du nombre de non-européens en Grande-Bretagne
seront très difficiles a arrêter ou même à diminuer.

Le problème réside dans la nature de la démocratie. Dans les démocraties, les politiciens pensent à court
terme. Leur objectif est de gagner une élection en deux, trois, voire quatre ans. Les politiciens ne peuvent
pas se permettre de s’opposer avec les votes des minorités pour des raisons de long terme pour la nation.

Les minorités immigrées veulent plus d’immigration de gens comme eux-mêmes. Lorsque le vote est
important d’immigrés, les hommes politiques ne peuvent plus se permettre de s’opposer. Ce point a été
atteint en Grande-Bretagne, où le nouveau Parti conservateur compatissant ne met plus le contrôle de
l’immigration parmi ses priorités. Il en est de même en Europe occidentale et aux États-Unis. En théorie,
l’immigration pourrait être arrêté, mais le coût en termes de voix, l’opposition d’une grande partie des médias
libéraux et la probabilité de guerre civile entre les communautés d’immigrants est devenue trop grande.

Ainsi, les projections présentées dans le tableau 4 semble tout à fait réaliste. L’échelle de temps pour que
les blancs deviennent une minorité de la population est contée. Alternativement, elle pourrait être plus courte,
par exemple si la Turquie est admise à la communauté européenne et 65 millions de Turcs avec leurs enfants
d’acquérir le droit de résider en Grande-Bretagne.

Table 5. Fertility of different racial groups
Group Number of children
Chinese 1.3
Whites 1.6
Blacks 2.2
Indians 2.3
Pakistanis/Bangladeshis 5.0
Somalis 5.0
La croissance du nombre de non-Européens n’est pas propre à la Grande-Bretagne. Il a lieu dans toute
l’Europe occidentale, aux États-Unis, au Canada et en Australie. Le professeur David Coleman a donné les
chiffres pour les pourcentages de non-Européens dans six pays européens dans les années 2000 et les
prévisions pour l’année 2050. Elles sont indiquées dans le tableau 6.
Table 6. Percentages of non-European peoples in six European countries, 2000 and 2050
Country     % Population
    2000   2050
Austria   3.9   5.1
Denmark   6.0   11.5
Germany   6.6   18.2
Netherlands   8.9   16.5
Norway   3.4   14.3
Sweden   6.2   10.7
Les chiffres pour les pourcentages de non-Européens dans six pays dans les années 2000 sont
sous-estimées, car elles sont tirées du recensement, qui ne comprennent pas les immigrants de troisième
génération (ceux-ci sont considérées comme des autochtones), et parce que un certain nombre d’immigrants
ne remplissent pas les formulaires de recensement, notamment les clandestins, pour des raisons évidentes.
Les prévisions des chiffres pour l’année 2050 sont également sous-estime probablement parce qu’ils croient
que la fécondité des immigrés va bientôt tomber à celle des Blancs. Coleman a donné les statistiques sur la
fécondité (taux de fécondité totale) des Européens et les non-Européens en France, en Hollande et en
Suède le tableau 7.On verra que dans ces trois pays les non-Européens ont environ cinquante pour cent de plus d’enfants que
les populations autochtones. Inévitablement, la proportion de non-Européens augmentera.
Table 7. Total Fertility Rates of Europeans and non-Europeans, 2000
Country     Fertility
  Europeans Non-Europeans
France   1.9   2.8
Netherlands   1.7   2.5
Sweden   1.5   2.3

Les Non-européens sont également en augmentation en pourcentage dans la population des États-Unis.
La plupart d’entre eux sont originaires du Mexique et sont des Indiens ou des métis (mélange de race
européenne et d’Indiens d’Amérique), mais il y a également un nombre important de Noirs d’Afrique et des
Caraïbes, et d’Asiatiques. Ensemble, ces entrées sont aux États-Unis à plus de 1 million par an.Le Bureau du recensement estime que le pourcentage des Européens au sein de la population, qui
s’établissait à 90 pour cent en 1940, était tombé à 71 pour cent en 2000 et devrait être de 40 pour cent d’ici
l’année 2100 (ces projections supposent que la la fécondité des immigrés sera à peu près la même que celui
que des blancs, ce qui est improbable).Patrick Buchanan a récemment écrit sur cette énorme transformation démographique qu’il appelle “l’invasion
du tiers-monde”.

Le Crépuscule des peuples de l’Europe

Une seule conclusion est possible. Le taux d’augmentation de la population non-européenne pourrait être
plus lente ou il pourrait être plus rapide que les prévisions indiquées dans le tableau 4, mais l’idée générale
est claire et incontournable: à un certain point dans un avenir prévisible, les blancs du peuple britannique vont
devenir une minorité dans ces îles, et les blancs vont également devenir des minorités dans l’ensemble de
l’économie des pays développés des peuples européens.Comme la proportion des non-Européens se développe en Europe et aux États-Unis (et aussi au Canada et
en Australie) et va devenir la majorité, l’intelligence de la population va diminuer. La force de l’économie sera
aussi inévitablement atteinte, avec un déclin du niveau de développement.

Les dirigeants du monde passeront en Russie et en Europe de l’Est, et à la Chine et au Japon, si ceux-ci
parviennent à résister à l’invasion des peuples non-européens.

Nous vivons dans une période extraordinaire. Rien de tout cela n’a jamais eu lieu dans l’histoire humaine.
L’immigration massive de non-Européens mènera inévitablement les peuples de l’Europe a devenir des
minorités et puis de plus en plus petites minorités dans leur propre pays, comme ils le sont dans la plupart
des pays d’Amérique latine et les Caraïbes. Dans le monde occidental, les peuples de l’Europe permettent
d’être remplacés dans leur propre patrie par les non-Européens.

Ce qui est encore plus remarquable, c’est que les peuples européens sont devenus tout à fait satisfaits de
leur propre élimination. Certains sont même ravis de l’accueillir. C’est rare qu’une semaine passe sans que
quelques intellectuelle ou politique, déclarant que l’immigration a été bonne pour le pays, que «dans notre
diversité fait notre force” et “nous devons célébrer nos différences”.

D’autres annoncent qu’ils attendons avec impatience le jour où les Blancs devienfront une minorité.

C’est la première fois dans l’ensemble de l’histoire de l’humanité qu’un peuple a volontairement conçu sa
propre destruction.

Richard Lynn, professeur émérite, Université de l’Ulster est l’auteur de plusieurs livres sur le QI, y compris
“The Global Bell Curve” et “IQ and Global Inequality”

Diminution intellectuelle en France: 1999 à 2009.

L’immigration massive de populations génétiquement moins intelligentes diminue progressivement le Q.I en France (et en Europe).

https://edwarddutton.files.wordpress.com/…/07/franceiq.pdf

“it might be that the increase in the numbers of immigrants with lower IQs in the French population may explain the decline.
This increase has occurred throughout western Europe and a number of studies have shown that immigrants from North Africa and southwest Asia typically have an average IQ of around 85 to 90 (Lynn, 2006, 2008; Lynn & Vanhanen, 2012; Rindermann & Thompson, 2014; for a large meta-analysis see te Nijenhuis, de Jong, Evers, & van der Flier, 2004).”